La Hongrie est le pays le plus touché par ce phénomène, tandis que les États-Unis sont le premier pays émetteur de pourriels.
Le taux de pourriels dans les courriels échangés dans le monde a progressé de 1,5 point entre février et mars 2010 pour s'établir au-delà de la barre des 90%, indique la société californienne.La Hongrie arrive en tête des pays les plus concernés par le pourriel, avec un taux de 95,7%, devant le Danemark (94,9%) et l'Italie (94,7%). À l'inverse, le taux de pourriel est relativement faible au Japon (87,5%) ou à Singapour (88,3%).
Par ailleurs, 36,6% des courriels classés comme spam proviennent des États-Unis, 17,8% de Chine, 16,5% de Roumanie, 10,7% du Royaume-Uni, 10% de Taiwan et seulement 0,7% de France.
Côté "tendances", le rapport indique qu'1 courriel sur 358,3 échangés en mars 2010 contenait un virus. Le ratio de hameçonnage (technique utilisée par les pirates pour obtenir des données personnelles des internautes) est quant à lui d'1 courriel sur 513,7.
Enfin, le secteur le plus touché par lepourriel à l'échelle globale est l'ingénierie (94,7%), devant l'éducation (91,9%).