lundi 13 décembre 2010

Un shampoing lui coûte ses cheveux à vie

David Wales se lavait comme à son habitude dans son appartement d’Augusta, dans l’état du Maine, avant d’aller travailler. Il s’était procuré une bouteille de shampoing la veille au marché 7/11 situé à quelques rues de son domicile, dont la marque est la même qu’il utilise depuis des années. Dès qu’il eût terminé de se mouiller les cheveux, Wales versa le liquide avec l’intention de nettoyer ses cheveux. Peu de temps après, il savait que quelque chose clochait.

En frottant son cuir chevelu, Wales sentait une drôle de sensation, semblable à une brûlure. « Mon crâne s’est mis à piquer, c’était insoutenable. Après, j’ai poussé un hurlement, j’étais en panique. » Entre ses doigts et partout dans le bain, les cheveux noirs du professeur tombaient au rythme de ses frottements. Le shampoing s’est attaqué à cette pilosité pour en détruire les racines presque instantanément. « Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Je savais que je n’avais pas le cancer, et mes doutes se sont tout de suite dirigés vers la bouteille de shampoing. Je l’ai porté à mon nez : une odeur de soufre en émanait, donc je l’ai tout de suite jeté à la poubelle. »

En proie à une frayeur sans précédent, David s’est présenté à l’urgence, le crâne rougit par son shampoing acide. La plupart de ses cheveux étaient tombés après sa séance dans la douche. Kath Morgan, infirmière au Maine General Medical Center, s’est dit estomaquée par la condition de la victime : « Je n’avais jamais vu ça. Il avait perdu une grosse partie de ses cheveux, et sa tête était couverte de zébrures rougeâtres, comme si on l’avait brûlé. » Après une longue attente, le médecin Gary Hole en est venu à un verdict choquant : les cheveux de David Wales ne repousseraient jamais. En effet, la substance qui se trouvait dans la bouteille de shampoing était si acide qu’elle a causé une alopécie accélérée : une maladie des cheveux qui ne s’enclenche jamais de la sorte en théorie.

« Quand j’ai su que mes cheveux ne repousseraient jamais d’eux-mêmes, j’ai pensé rêver. Je n’y croyais tout simplement pas. Comment est-ce possible? » Un échantillon du shampoing a été envoyé aux laboratoires de la police locale, où il sera examiné dans les prochaines semaines. En attendant, la victime a déjà trouvé un avocat pour défendre sa cause. « Mon client a été la proie d’un produit dont les conséquences dureront à vie. Nous visons une compensation d’égale mesure, et une explication claire de la compagnie », a indiqué Frederik Nofdö dans un communiqué obtenu par la presse du Maine.


insolite.ca

Castré par le père de sa copine

Helmut Seifert n’approuvait pas la relation qu’entretenait sa fille de 17 ans avec un mec de 57 ans, Phillip Genscher. Enragé par ce cas probant de détournement de mineur et la non-action des policiers auxquels il avait exposé la situation, l’homme d’origine russe a pris les choses en main pour mettre un terme à cette situation.

La police explique dans son rapport comment Helmut Seifert a « recruté deux collègues de son travail à l’usine pour ensuite se présenter à la maison de la victime. L’homme a été forcé d’enlever ses pantalons et, parfaitement conscient, il a été castré. Les testicules sectionnées ont été emportées par l’agresseur. » Genscher est passé à deux doigts de mourir au bout de son sang. Il a été en mesure de contacter la police et de sauver sa peau, mais demeurera sans testicules le restant de ses jours. Autant mieux mourir, diront certains.

Seifert, le père, a utilisé un couteau à beurre pour trancher les précieux organes du corps de sa victime. Il devra faire face à une accusation pour tentative de meurtre en 2011. Voici ce qu’il avait à dire pour sa défense : « J’ai reçu un appel anonyme m’indiquant que ma fille était impliquée avec un homme 40 ans plus vieux qu’elle. Vous avez dit (la police) que vous ne pouviez pas l’arrêter – alors je l’ai fait. J’ai vu ça comme mon devoir en tant que père.»

insolite.ca

mercredi 13 octobre 2010

Un groupe de rock chante... au milieu d'une autoroute !

Los Angeles, États-Unis - Afin de se faire connaitre de manière originale, un groupe de rock a décidé de chanter ses chansons au milieu de l'autoroute.Dans un monde moderne où seul le buzz compte, beaucoup tentent de se faire connaître à travers des moyens originaux, et c'est alors l'escalade des expériences les plus folles.

Pour se faire connaitre, un groupe de rock n'a pas décidé de poster simplement une vidéo sur une plate-forme de musique ou de créer un blog en espérant percer.Les membres du groupe ont préféré prendre un camion, se rendre directement sur l'autoroute, bloquer les voitures arrivant derrière , pour montrer au monde leur talent de chanteur. Ils ont ainsi interprété la chanson "Trafic Jam 101", un titre que l'on peut qualifier d'approprié. Les artistes en herbe n'ont pas manqué de se faire arrêter par la police quelques minutes plus tard.

Zigonet

samedi 4 septembre 2010

Le fumeur âgé de deux ans a finalement arrêté la cigarette

À deux ans, il fumait jusqu'à deux paquets de cigarettes par jour. Après la diffusion sur Internet d'une vidéo qui avait suscité un vaste scandale, le petit Indonésien Aldi Rizal a finalement arrêté la cigarette.

La vidéo avait été mise en ligne en mai dernier. On y voit le gamin en train de fumer tranquillement, allumant même sa cigarette avec une autre. Ses parents avaient affirmé qu'il piquait une colère chaque fois qu'ils essayaient de l'empêcher de s'en allumer une.

Le psychologue Seto Mulyadi, qui a recueilli l'enfant chez lui afin de l'aider à arrêter, a annoncé vendredi qu'il avait cessé de réclamer des cigarettes. Aldi avait pris cette mauvaise habitude car pratiquement tous les hommes de son village de pêcheurs, dans la province de Sumatra du Sud, fument.

Une fois mis à l'écart de son environnement habituel, et grâce aux activités qui lui ont été proposées, comme le jeu et le dessin, le bambin n'a plus ressenti le besoin de fumer, a expliqué le psychologue. Selon des proches, c'est le père d'Aldi qui lui avait donné sa première cigarette, à 18 mois seulement.

mardi 17 août 2010

Un homme vend sa fille pour moins de 20 euros

Inde - Un homme a vendu sa propre fille. L'enfant de 6 ans a été cédée pour 16.50 euros et l'argent devait servir à l'homme à s'acheter de l'alcool.

Un homme victime de problèmes financiers et d'alcool n'a pas envisagé d'autres solutions pour pouvoir s'acheter de l'alcool que de vendre sa fille. Alors qu'il s'était rendu dans un magasin auquel il devait déjà de l'argent, le responsable avait en effet refusé de lui vendre quoi que ce soit.L'homme s'est alors rendu dans la rue où il a vendu sa fille aux enchères a expliqué 7sur7. Un homme aurait remporté l'enfant pour une valeur de 16.50 euros, mais la transaction a été annulée après intervention des forces de l'ordre.

Zigonet

vendredi 30 juillet 2010

Montrer son caleçon n'est pas contraire à la Constitution US

Le port d'un pantalon exposant une partie ou la totalité de ses sous-vêtements n'est pas contraire à la Constitution américaine, a estimé un juge de New York appelé à trancher cette grave question.

La Constitution américaine garantit le droit de ses citoyens à s'habiller comme bon leur semble, même s'ils ont l'air ridicules, a estimé mercredi le juge Ruben Franco.

Julio Martinez, un habitant du Bronx, avait été interpellé en avril dernier par un policier qui avait jugé son allure susceptible de troubler l'ordre public car "avec son pantalon descendu sous les fesses, il exposait son sous-vêtement et pouvait potentiellement montrer ses parties intimes".

Mais le magistrat n'a pas retenu l'argument du policier.

"Même si nous sommes nombreux à trouver répugnant, ou tout au moins stupide, de porter un pantalon aussi bas afin de montrer son caleçon, les gens peuvent s'habiller comme ils veulent, porter tout ce qu'ils veulent, tant qu'ils n'offensent pas l'ordre public et la décence", écrit le juge Franco.

Selon le jugement, ce style trouverait son origine dans le milieu carcéral, où les détenus portent des uniformes souvent trop grands et n'ont pas le droit à des ceintures, par mesure de sécurité.

Karina Ioffee, Jean-Stéphane Brosse pour le service français

Un petit steack d'écureuil, ça vous dit? A Londres, c'est possible

C'est le Daily mail qui vient de le révéler dans son édition d'aujourd'hui.

Un petit supermaché, le "Budgens" à Londres, vend effectivement de l'écureuil prêt à cuire.

Sa chair serait tendre, riche en protéine et pauvre en graisse vante le propiétaire de l'établissement, Andrew Thornton, qui vient de se faire montrer du doigt par les défenseurs des animaux !

Et de rajouter : Dans quelques années, la viande d'écureuil va devenir comme le lapin", relate Les Echos

Il faut dire qu'il vend dix à douze écureuils par semaine ! Et les clients en redemandent... enfin certains clients...

La viande d'écureuil figurait autrefois dans les assiettes anglaises et le retour au tradition fait que le pauvre animal bénéficie d'un regain d'intérêt dont il aurait bien aimé se passer !

Les défenseurs des animaux crient au scandale.

"Budgens tire des bénéfices du massacre barbare et inutile" d'écureuils, dénonce Juliet Gellatley, fondatrice de Viva ("Vegetarians International Voice for Animals")

Sur quoi le gérant répond que " de nombreux bouchers le proposent maintenant. Ca devient de plus en plus courant",

Alors, êtes-vous prêt à manger de la chair d'écureuil ?

Comment le cuisineriez-vous ?


LePost